Recherche par auteur : Zweig, Stefan (1881-1942)
28 résultats. Page 2 sur 2.
Lu par : Francine Chappuis
Durée : 8h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15555
Résumé:Comment le désir et la passion, enracinés au fond de chaque être, peuvent le révéler à lui-même et bouleverser son destin : tel est le secret que tentent de percer les quatre récits qui composent ce volume.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14599
Résumé:Au début du siècle dans une petite pension de famille de la Côte d'Azur (sud de la France), un scandale éclate au sein d'une petit société de bourgeois venus passer du bon temps au soleil. La femme d'un des clients s'enfuit avec un jeune homme de passage que nul ne connaît. Toute la pension est en émoi et l'auteur dépeint avec beaucoup de finesse et de précision une fresque incroyable sur les travers des bonnes moeurs. Lui seul prendra la défense du jeune homme avec pour alliée une vieille dame anglaise, sèche et distinguée. C'est elle qui lui expliquera quels feux éteints cette aventure a ranimé: une passion foudroyante.
Lu par : Gérald Bloch
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14344
Résumé:Czentowicz, champion d'échecs arrogant, esprit borné à outrance, inculte et étonnamment stupide, occupe le premier plan jusqu'à l'entrée en scène de Monsieur B. Dès lors que cet aristocrate autrichien s'intéresse à la partie livrée entre le champion et les passagers amateurs, la direction du texte bascule. Par un effet de symétrie, la narration se transforme en un face à face tendu entre un esprit brillant et rapide à l'intelligence abstraite et un cerveau au pragmatisme brutal, incapable de projection véritable. Mise en scène percutante de la résurrection de la folie, cette nouvelle oscille entre ouverture et enfermement. Dans cette avancée implacable de la stupidité destructrice, allégorie de la victoire du nazisme mais aussi chef-d'oeuvre de composition, Zweig s'intéresse peu à la survie du corps, préférant montrer les réactions de l'esprit, qui trouve un symbole parfait dans ce jeu éminemment intelligent mais désespérément stérile. Publié en 1943, un an après le suicide de son auteur, Le Joueur d'échecs fait figure de testament dans l'oeuvre de Zweig. --Sana Tang-Léopold Wauters
Lu par : Claude Fissé
Durée : 7h. 12min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 7706
Résumé:Un recueil de six nouvelles écrites en 1935. La Peur (la nouvelle éponyme) : une femme blottie dans la tranquillité d'une existence bourgeoise et confortable est prise par le démon de l'adultère. Révélation inattendue d'un métier : un homme devient, de simple spectateur, le complice d'un pickpocket avant d'en être sa victime. Leporella : une bigote quadragénaire, austère vieille fille sert avec un zèle excessif un baron et sa femme, jusqu'au jour où le suicide suspect de la baronne permet à Leporella d'avoir l'exclusivité du mari qui la soupçonne. La Femme et le paysage : au cours d'une nuit de pluie dans un paysage de sécheresse, un homme vit une étrange relation avec une jeune fille. Le Bouquiniste Mendel : histoire tragi-comique d'un bouquiniste plongé dans ses livres, étranger au monde qui l'entoure ce qui lui vaudra d'être une victime particulière de la guerre. La Collection invisible : un vieux collectionneur aveugle montre à un connaisseur une multitude de pages jaunies qu'il croit être des oeuvres d'art rares qui, en vérité, ont été vendues par sa famille pour se nourrir en temps de guerre.
Lu par : Olga Borrajo
Durée : 5h. 40min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 6903
Résumé:Ce recueil de nouvelles permet d'appréhender le talent complexe de Stefan Zweig : on y trouve à la fois le conteur, l'historien et le penseur. Ces trois récits exhalent la même inspiration mystique, qu'ils soient tirés de la tradition juive ou de la légende des Indes mystérieuses. Les préoccupations humanistes du grand autrichien sont au coeur de ces contes, sans rien ôter de leur merveilleux ni de leur séduction.
Lu par : Roger Lador
Durée : 3h. 18min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 5999
Résumé:L'Amérique, chacun le sait, aurait dû s'appeler Colombie. Amerigo Vespucci, qui lui donna son nom, n'avait en rien contribué à sa découverte, ni même revendiqué ce privilège. Alors, pourquoi lui ? Dans cet essai écrit en 1941 - alors même qu'il s'installe en Amérique -, Stefan Zweig reconstitue l'enchevêtrement des circonstances, des hasards, des malentendus qui sont à l'origine de cette étrange erreur. Jeu d'érudit ? Pur délassement intellectuel ? On aurait tort de s'en tenir là. Ecrivain constamment soucieux d'élargir son horizon, le romancier de "Vingt-Quatre Heures de la vie d'une femme", le biographe d'Erasme et de Balzac nous invite ici à voir le monde avec les yeux des hommes du XVe siècle, leurs connaissances, leurs incertitudes, leurs moeurs. Un an avant sa mort volontaire, il nous fait mesurer, aussi, l'incommensurable distance qui se creuse entre le vécu et la mémoire, entre les perceptions du présent et ce que les siècles futurs retiendront de nous...
Lu par : Jean Frisch
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 4264
Résumé:Avec Maupassant pour modèle, Stefan Zweig s'est attaché, selon ses propres mots, à donner à chacune de ces trois nouvelles toute "la substance d'un livre". Dans "Destruction d'un coeur", un vieil homme ne se résout pas à admettre que sa fille devienne adulte. Il se laisse consumer par une jalousie qui, peu à peu, l'isole de ses semblables. Dans "La gouvernante" et "Le jeu dangereux", c'est encore la cruauté des rapports entre générations - mais aussi l'intelligence immédiate des enfants face aux choses de la vie ou le refus de vieillir - que Stefan Zweig met en scène.
Lu par : Jeanne-Laure Hentschel
Durée : 14h. 39min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 3082
Résumé:Reine d'Ecosse à la mort de son père, en 1542, alors qu'elle n'a que six jours puis reine de France à dix sept ans, après son mariage avec François II, Marie Stuart est une des figures les plus romanesques de l'histoire. Veuve en 1560, elle rentre en Ecosse et épouse Lord Darnley, avec qui elle ne s'entend bientôt plus. Elle devient la maîtresse de Bothwell - une liaison qui entraînera sa perte. Lorsque Bothwell assassine Darnley, l'horreur causée dans le pays par ce forfait est si grande que Bothwell est exilé : Marie Stuart doit se réfugier auprès de sa rivale Elisabeth Ier, reine d'Angleterre. Celle-ci la gardera captive vingt ans, jusqu'au jour où, tombant dans le piège d'une conspiration contre la vie d'Elisabeth, la malheureuse Marie est condamnée à mort. Parée de mille grâces par les uns, peinte comme une criminelle par les autres, chacun reconnaît en Marie Stuart une victime, dont l'énergie dans l'épreuve et la fierté devant la mort furent admirables. Il fallait un esprit libre et l'immense talent de Stefan Zweig pour faire revivre en toute justice la femme et la reine si cruellement unies par le destin. Sans négliger aucun des témoignages ni des travaux qui l'ont précédé, éclairant en grand psychologue les caractères des personnages de ce drame, reconstituant avec une minutieuse exactitude cette époque pleine de bruit et de fureur, Stefan Zweig a réussi pour Marie Stuart à concilier rigueur de scientifique et passion de l'artiste.